2 Chroniques 7.13-14
2 Chroniques 7.13-14
Si je ferme les cieux, et qu’il n’y ait point de pluie, et si je commande aux sauterelles de consumer le pays, et si j’envoie la peste parmi mon peuple; Et que mon peuple, sur lequel mon nom est invoqué, s’humilie, prie, et cherche ma face, et qu’il se détourne de ses mauvaises voies, alors je l’exaucerai des cieux, je pardonnerai ses péchés, et je guérirai son pays.
2 Chroniques 7.13-14
Quiconque confesse ses péchés et les délaisse obtiendra miséricorde. Nous avons ici un grand sujet de joie! Notre Dieu ne garde pas Sa colère à toujours. Il pardonne abondamment! Effectivement, si le Seigneur prenait garde aux iniquités, qui subsisterait devant Lui? Quel serait notre espoir? Néanmoins, il n’en est rien. Le problème de notre péché a été réglé une fois pour toutes. Certes, il fallait qu’il le soit puisque notre Dieu est juste. Il ne tient pas le coupable pour innocent. Ses yeux sont trop purs pour voir le mal et supporter le péché. Quelqu’un doit payer. Justice doit nécessairement être faite.
Voici, Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. La voici la victime propitiatoire, l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur le Christ. Au bois de la croix, Il a tout accompli. Désormais, notre Dieu est juste tout en justifiant ceux qui ont foi dans le Nom du Seigneur Jésus. N’est-ce pas à nous d’emprunter cette voie désormais? L’Esprit Saint nous convainc de péché, de justice et de jugement.
Ne prenons pas occasion de cette conviction pour écouter notre instinct et fuir loin de Dieu. Ce serait la plus terrible des choses à faire! Nous serions vagabonds et fugitifs toute notre vie sur la terre. Soyons-en convaincus, c’est une bonne chose que nous sentions notre misère, c’est une bonne chose que éprouvions le besoin d’être secourus! Nous voici dans les meilleurs dispositions pour être présentés au Sauveur, au Christ mort en croix pour nos péchés!
Qui que nous soyons, quoi que nous ayons fait, que personne ne se prive de la grâce de Dieu! C’est un fait, tous et toutes, nous en sommes indignes. Toutefois, Jésus-Christ n’excepte personne lorsqu’Il lance cet Appel: « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai. » Ne résistons pas, venons à Lui!