2 Timothée 3.1-5
2 Timothée 3.1-5
Or, sache que dans les derniers jours il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront épris d’eux-mêmes, aimant l’argent, vains, orgueilleux, médisants, rebelles à pères et à mères, ingrats, impies, Sans affection naturelle, implacables, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, Traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant la volupté plutôt que Dieu, Ayant l’apparence de la piété, mais en ayant renié la force. Éloigne-toi aussi de ces gens-là.
2 Timothée 3.1-5
Le monde qui nous entoure ne fait que confirmer la description qu’en dressent les Écritures: l’impiété va grandissante et couvre la terre de ténèbres toujours plus épaisses! Evidemment, au milieu de ce marasme, il peut nous paraître bien difficile de cheminer. La question qui se pose est de savoir comment ne pas être atteints nous-mêmes? Il semble que nous devions naviguer constamment à contre courant face à des vagues d’impuretés toujours plus puissantes.
Oui, nous sommes dans le monde, c’est vrai. Néanmoins, nous ne sommes pas du monde. Assurément, il est très important que nous le réalisions. Ici-bas, nous ne sommes que des pèlerins, des voyageurs, des étrangers. Aussi, la Parole de Dieu engage les fidèles à se garder purs de la souillure du monde. « Mission impossible! » diront plusieurs. Certes, le fait est indiscutable, l’homme ne dispose pas des ressources nécessaires pour satisfaire à cette demande. Qui s’y risque sombrera certainement dans le désespoir avant longtemps. Sans conteste, le défi est bien trop considérable pour un simple homme.
Où donc se trouve notre salut? Il porte un Nom, un merveilleux Nom, Jésus-Christ! Notre foi en Lui, voici notre victoire sur le monde. Quant à Lui, Il a déjà vaincu et désormais, dans Sa grâce, Il associe Ses rachetés à Son triomphe. Oui, face aux diverses, et nombreuses, séductions du monde, notre refuge se trouve en Christ, notre Seigneur. Maintenant, on nous propose quelques plaisirs éphémères, immédiats, mais à quel prix! En échange, nous devons sacrifier notre glorieuse espérance sur l’autel du prince de ce monde. Hors de question! Ce serait la plus tragique des erreurs. Résistons, résistons toujours!
Aujourd’hui, nous bataillons âprement, mais n’oublions pas que la guerre a déjà été remportée. L’Oeuvre est achevée, Christ a tout accompli. Attendons-nous seulement à Lui. Il ne fait aucun doute que le Seigneur saura nous délivrer de toutes mauvaises œuvres!