Luc 17.26-27
Luc 17.26-27
Et ce qui arriva du temps de Noé, arrivera de même au temps du Fils de l’homme: On mangeait, on buvait, on prenait et on donnait en mariage, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; et le déluge vint qui les fit tous périr.
Luc 17.26-27
Le monde se réjouit, fait bonne chère et vit dans les délices dans une totale insouciance. Les hommes ne se soucient pas de la condamnation latente qui pèse sur leur âme. La menace est pourtant on ne peut plus sérieuse. Néanmoins, aveuglés et endormis du sommeil de la mort, ils ne l’aperçoivent pas et ne saisissent pas l’urgence d’y remédier.
Pourtant, la vie est si fragile. Qui peut présumer de ses jours? Si, en cette même nuit, Dieu redemande son âme à un homme sans qu’il soit préparé à Le rencontrer, ne serait-ce pas dramatique? N’ayant pas cru au Nom du Fils unique de Dieu, quelle justice invoquera-t-il? Comment justifiera-t-il ses nombreux péchés? Sans avocat à ses côtés pour prendre sa défense, qui le délivrera de l’irrévocable sentence de mort? Dès alors, il ne sera plus temps pour lui de s’en inquiéter. Trop tard, il sera trop tard!
C’est pourquoi, puisque la Parole de Dieu nous avertit à ce sujet, ne soyons pas légers, n’agissons pas en insensés! Le jour de grâce n’est pas encore révolu. Fuyons la colère à venir et trouvons refuge auprès du Sauveur! Ne le savons-nous pas, Jésus-Christ est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu! Lui-même a donné Sa vie en rançon pour plusieurs. N’avons-nous pas entendu parler de Ses souffrances et de Son agonie à la croix? N’avons-nous pas eu connaissance du cri qu’Il a poussé avant de rendre l’esprit? Voici, tout est accompli! Le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur Lui. La dette est payée.
Sans plus attendre, délaissons le monde et ses vanités. Hâtons-nous, venons au Seigneur Jésus et ne nous privons pas de la grâce de Dieu. Comment échapperons-nous, si nous négligeons un si grand salut?