Actes 10.38
Actes 10.38
Comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de puissance Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient opprimés par le diable; parce que Dieu était avec lui.
Actes 10.38
Le temps de la grâce serait-il maintenant parvenu à son terme? Peut-être plusieurs sont-ils perplexes à ce propos et s’interrogent. Le Seigneur aurait-Il abandonné notre génération à sa ruine? Le Seigneur aurait-Il changé en quelque mesure? Non, soyons-en sûrs, il n’en est rien. Écoutons le témoignage des Écritures, il ne laisse place à aucun doute: « Jésus-Christ a été le même hier et aujourd’hui, et il l’est aussi éternellement. » Il demeure fidèle à Sa Parole. Comme autrefois, Il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par Lui. Assurément, Son intercession est toujours aussi efficace.
Mais alors, que se passe-t-il? Où se situe la pierre d’achoppement? Ne le constatons-nous pas, l’incrédulité gangrène le monde. On se rit du Christ, de l’Oeuvre de la croix et de l’Évangile. Sans sourciller, l’homme se tourne à présent vers les fables et vers le mensonge. Il prête davantage de crédit à sa prétendue science qu’à la vérité immuable de Dieu. Par conséquent, puisque l’homme rejette le Sauveur, puisqu’il ne croit pas en Lui et Le méprise vigoureusement, comment pourrait-il apercevoir Son salut? Souvenons-nous de ceci, le juste vivra par la foi. Sans elle, il est absolument impossible d’être agréable à Dieu.
Ceci étant dit, en ce qui nous concerne, nous faut-il aussi désespérer et marcher dans le noir? Quelle drôle d’idée! Pourquoi le devrions-nous? Rien n’oblige qui que ce soit à se joindre à la cohorte de ceux qui rejettent la foi. Si quelques-uns n’ont pas cru, leur incrédulité anéantira-t-elle la fidélité de Dieu? Certainement pas! Quelqu’un désire la liberté? Qu’il vienne au Seigneur Jésus! Celui que le Fils affranchit est véritablement libre. Oui, nous l’affirmons avec force, la grâce de Dieu salutaire à tous les hommes a été manifestée. Le Christ se propose encore d’être la lumière de ceux, et celles, qui empruntent le chemin étroit. C’est une certitude, la promesse du salut, de la délivrance, et du pardon perdure en cette heure. Sans plus attendre, vérifions-le en répondant à cette chaleureuse invitation: « Viens et vois. »