Jean 10.4-5
Jean 10.4-5
Et quand il a mené dehors ses propres brebis, il marche devant elles, et les brebis le suivent, parce qu’elles connaissent sa voix. Mais elles ne suivront point un étranger; au contraire, elles le fuiront, parce qu’elles ne connaissent point la voix des étrangers.
Jean 10.4-5
Quelle sécurité pour ceux, et celles, qui connaissent la voix du Berger. Pour ces derniers, tout est simple, il leur suffit d’écouter et de suivre Celui qui marche devant eux. Ô combien sont heureuses les brebis du Seigneur Jésus! Non, elles ne manquent de rien, jamais. Elles sont accoutumées aux eaux paisibles et la pâture ne fait défaut à aucun moment. Quant aux dangereux loups ravisseurs, ils ne peuvent rien contre les rachetés du Seigneur. Les séducteurs peuvent bien faire miroiter monts et merveilles, les brebis du souverain Pasteur échapperont. Et pour cause, elles fuient les étrangers dont elles ne connaissent pas la voix.
Remarquons-le, en ce monde rempli de toutes sortes de bruits et d’angoisses, c’est un privilège incomparable que celui d’avoir une oreille sensible à la voix du Fils de Dieu. Indéniablement, c’est une grâce tout à fait hors du commun que de pouvoir affirmer, même au cœur de la plus effroyable tempête, les paroles suivantes: « […] ton bâton et ta houlette sont ceux qui me consolent. »
Sans doute, tout un chacun aimerait posséder une telle assurance. Pour cela, comme nous l’avons exposé, l’obéissance à la voix du Seigneur Jésus est requise. Bien entendu, pour Lui obéir, il faut d’abord L’écouter nous parler. C’est pourquoi, prenons le temps d’étudier et de méditer régulièrement les Écritures. Oui, veillons avec un soin particulier à ce que la parole de Christ habite abondamment en nous. C’est une évidence, la voix du Berger nous deviendra familière. Dès alors, tout sera bien pour nous. Nous serons à l’abri du péril et de tous les prédateurs. Nous irons joyeusement notre chemin sous la conduite du grand Pasteur des brebis!