Colossiens 1.17-18
Colossiens 1.17-18
Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui. Et c’est lui qui est la tête du corps de l’Église; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin qu’il tienne le premier rang en toutes choses.
Colossiens 1.17-18
Dieu a donné pour Chef suprême à l’Eglise notre Seigneur Jésus-Christ. C’est sous Son autorité que nous sommes placés. En d’autres termes, l’obéissance que nous Lui devons n’est pas une éventualité mais, bel et bien, une nécessité. D’ailleurs, les Écritures n’en font aucun mystère puisqu’elles affirment ouvertement que qui désobéit au Fils ne verra pas la vie mais que la colère de Dieu demeure sur Lui. Ne nous abusons pas, Il est le Maître et nous sommes Ses disciples. Par conséquent, il est tout à fait naturel que nous Lui soyons soumis.
Pourquoi écouterions-nous ceux qui poussent à la rébellion? Pourquoi prêter l’oreille à la voix des impies qui nient Son empire? Apprenons-le, Il tient le premier rang en toutes choses. Certes, c’est en vain que les contestataires se liguent et s’opposent à Lui. Quoi qu’ils disent et quoi qu’ils fassent, nul ne viendra jamais au Père autrement que par le Fils.
D’ailleurs, tout bien réfléchi, pour quelle obscure raison Le repousserions-nous? Il n’a que de bonnes intentions à notre égard. Soumis à l’épreuve des faits, aucun doute à ce sujet ne peut subsister. Le Christ a fait la preuve de Son Amour pour l’homme de la plus belle des manières. Bien que rien ne L’y contraignait, Il a donné Sa vie pour nous. À la croix, Il a racheté nos âmes au prix de Son précieux sang.
Interrogeons-nous, quel est le roi qui donne sa propre vie en rançon pour ses sujets? Quel est le monarque qui soit prêt à un si grand sacrifice? Jésus-Christ l’a fait. Or, chacun sait qu’Il n’est pas n’importe quel roi! Non, Il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs! Sans doute, cette nouvelle perspective nous engage-t-elle à considérer, ou reconsidérer, notre position. Après tout, c’est bien peu de chose que notre obéissance si nous considérons la grandeur et la majesté du Roi. Assurément, c’est bien volontiers que nous nous courbons devant Lui. En réalité, c’est un honneur, un privilège incomparable, d’être compté parmi ceux qu’Il reconnaît pour Siens! Oui, Son joug est aisé et Son fardeau léger. N’attendons plus, chargeons-nous en et suivons-Le sur la route avec fidélité et reconnaissance!