Actes 20.20-21
Actes 20.20-21
[…] Et que je n’ai rien caché des choses qui vous étaient utiles, et n’ai pas manqué de vous les annoncer et de vous instruire en public, et de maison en maison; Prêchant et aux Juifs et aux Grecs, la repentance envers Dieu, et la foi en Jésus-Christ notre Seigneur.
Actes 20.20-21
Le réalisons-nous, la Parole de Dieu est d’une valeur incomparable. Et pour cause, elle est la vérité. Qui peut dire le prix de la vérité? Bien sûr, elle est parfois difficile à entendre et même à accepter. Néanmoins, n’en doutons pas, elle est toujours salutaire à qui la reçoit. Dieu nous donne tout Son conseil, Il ne nous en cache rien. À nous d’être attentifs et d’y prendre garde!
Quant à l’homme, les Écritures n’en font pas mystère, elles affirment ouvertement qu’en l’état, il est perdu. Sans aucun détour, son cœur est mis à nu. Remarquons-le, la vérité n’use pas de complaisance, elle rapporte les faits tels qu’ils sont. Il n’est absolument pas question de la corrompre par quelque arrangement que ce soit. D’ailleurs, à quoi servirait une vérité édulcorée? Maintenant, nous en sommes conscients, nous avons besoin d’un Sauveur. Avant, lorsque le sommeil de la mort nous berçait encore, nous n’apercevions pas le danger qui nous guettait. Désormais, nous avons entendu la vérité et plus rien n’est caché, la lumière a tout éclairé.
Bien entendu, la révélation qui nous est confiée ne s’arrête pas là. Autrement, il ne nous resterait aucun espoir. Le fait est que Dieu est saint, Dieu est juste. Il ne tient en aucun cas le coupable pour innocent. Nous comprenons alors sans mal qu’un gouffre infranchissable sépare l’homme de Dieu: le péché. Sauf à trouver une rançon à présenter en échange de son âme, il n’est pas d’issue heureuse pour l’homme. Pourtant, dans la nuit, une lumière resplendit à présent. Pour qui ressent sa misère, se repent et demande grâce, Dieu a préparé un grand salut.
Dorénavant, l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde peut être présenté. La précieuse rançon dont nous avons besoin est là, devant nos yeux. Jésus-Christ a comblé le fossé que nous ne pouvions traverser. C’est à la croix que ces paroles ont retenti: « Tout est accompli. » Quelle délivrance! Quel repos! Quel contraste saisissant, la Parole de Dieu montre à l’homme l’horreur absolue de son péché et lui communique en même temps la grâce merveilleuse du salut en Christ!
Ne perdons pas de vue que ce bonheur est réservé à ceux, et celles, qui gardent entièrement le conseil de Dieu. Veillons soigneusement à ne pas le négliger! Ne retranchons rien au témoignage, n’y ajoutons rien non plus. Alors, nous serons heureux et nos âmes seront en constante prospérité!