Marc 1.40-42
Marc 1.40-42
Et un lépreux vint à lui, se jeta à genoux, le pria et lui dit: Si tu veux, tu peux me nettoyer. Et Jésus, ému de compassion, étendit la main, le toucha, et lui dit: Je le veux, sois nettoyé. Et dès qu’il eut dit cela, la lèpre quitta aussitôt cet homme, et il fut nettoyé.
Marc 1.40-42
Indéniablement, reconnaître que nous sommes malades spirituellement est une grande grâce de Dieu! C’est un fait, tous les hommes sont atteints par la lèpre du péché. Malheureusement, beaucoup l’ignorent ou ne veulent tout simplement pas l’admettre. Cependant, pour être guéri d’un mal, avant toutes choses, il est nécessaire d’être conscient que nous en sommes atteints. Cela se comprend aisément. Autrement, comment saurions-nous que nous avons besoin d’un remède pour en être guéri? Quelqu’un irait-il voir son médecin avant d’être malade? Ne serait-ce pas totalement insensé?
Le Christ est venu appeler à la repentance, non les justes, mais les pécheurs. Par conséquent, si nous refusons d’ouvrir les yeux sur notre état, nous devrons aussi nous passer de la grâce de Dieu. Incontestablement, nul ne peut estimer la perte que fait une âme en la méprisant. Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle. Voici le remède, voici la guérison, pour tous ceux qui se meurent dans leurs iniquités. Maintenant, pour qui croit dans le Nom du Fils de Dieu, la question du péché est définitivement réglée: la rançon a été acquittée.
Jusqu’à présent, malgré tous nos efforts, rien n’y faisait: la lèpre progressait et bientôt, nos corps tout entier en aurait été recouverts. Seulement, aujourd’hui, le Sauveur nous est présenté. On nous annonce que Son sang purifie de tout péché. Plus encore, on nous affirme que quiconque se confie en Lui en obtient l’aspersion. L’espoir d’une délivrance, extraordinaire autant qu’inattendue, devient soudain à notre portée!
Désormais, à la croisée des chemins, nous devons impérativement choisir. Nous avons deux options: la mort ou la vie, l’orgueil ou l’humilité. Evidemment, cela coûte de se reconnaître perdu, incapable de se sauver. Néanmoins, c’est ici la vérité, et la guérison commence par accepter ce diagnostic. Ne soyons pas fiers, venons au Seigneur Jésus avec ces paroles: « Si tu veux, tu peux me nettoyer. » Croyons-le, le Sauveur ne mettra dehors aucun de ceux qui viendront à Lui. Approchons avec assurance. Oui, regardons vers Lui et soyons sauvés!