2 Corinthiens 2.17
2 Corinthiens 2.17
Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme beaucoup le font; mais nous parlons avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, en Christ.
2 Corinthiens 2.17
N’en soyons pas surpris, dans les derniers jours, les hommes se donneront une foule de docteurs afin d’entendre des choses qui leur soient agréables. Aujourd’hui, la saine doctrine n’est plus reçue, elle est de moins en moins audible au milieu de tout le brouhaha. Le témoignage de Christ est moqué et méprisé. Maintenant, des loups ravisseurs se sont infiltrés au sein du troupeau de Dieu pour en faire un carnage. Nous ferions bien de prendre au sérieux cette grande menace! Ceux-ci cherchent à détruire et perdre les brebis en enseignant des choses qui ne se doivent pas enseigner. Les âmes mal affermies n’apercevront sans doute pas le danger et seront séduites par ces discours fallacieux.
Finalement, quelle arme avons-nous pour faire face? Une seule: la vérité. Si elle gouverne un cœur, aucun mensonge ne pourra y subsister. Christ l’affirme: « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » Ne nous abusons pas, il n’existe aucun autre remède. Il faut en être pleinement conscient, demeurer attaché au Seigneur Jésus, et à Sa Parole, revêt un caractère impératif. Sans Lui, nous sommes seuls et tellement vulnérables. Alors, nous n’avons absolument aucune garantie. Alors, la voie est toute grande ouverte pour accueillir l’erreur et autres doctrines frelatées. C’est pourquoi, veillons très soigneusement à ne pas délaisser le précieux témoignage des Écritures.
Néanmoins, nous devons l’admettre, le monde n’est nullement propice à une étude approfondie et fidèle de la Parole de Dieu. L’avons-nous remarqué, les activités foisonnent et accaparent de plus en plus de notre temps. Seulement, prenons le temps de la réflexion, ne tombons pas dans le piège du diable. Surtout, ne négligeons pas les paroles qui sortent de la bouche de Dieu. Autrement, réalisons-le, nous serions à la merci de l’adversaire et de ses agents. Nous serions à nouveau sous le joug de la servitude; ce n’est certainement pas ce que nous désirons! Soyons résolus, ne laissons aucune brèche béante. Méditons assidûment le Livre inspiré et recevons Son enseignement! Soumettons-nous y et, par la grâce de Dieu, tout ira bien pour nous!