2 Samuel 22.31-32
2 Samuel 22.31-32
La voie de Dieu est parfaite, la parole de l’Éternel est éprouvée; il est le bouclier de tous ceux qui se retirent vers lui. Car qui est Dieu, sinon l’Éternel? Et qui est un rocher, sinon notre Dieu?
2 Samuel 22.31-32
Comment ne pas chanceler dans ce monde? Comment y trouver équilibre et stabilité? Bien entendu, toutes ces questions sont légitimes et, fort probablement, chacun se les pose au cours de son existence. Evidemment, tous cherchent à bâtir leur vie sur des bases solides. Autrement, chacun sait qu’elle sera exposée à la menace d’une ruine soudaine lorsqu’une tempête se jettera avec violence sur l’édifice. Aussi est-il tout à fait normal de chercher à se prémunir de ce grand danger! Seulement voila, il reste à savoir maintenant où l’homme placera sa confiance. En réalité, ce choix est crucial. Il conditionne toute son existence et de cette décision dépend directement son salut.
Les politiciens pourraient-ils offrir la sécurité dont nos âmes ont besoin? Les philosophes et autres maîtres à penser de ce siècle sauraient-ils les apaiser par leurs discours? De manière plus générale, le bras de la chair serait-il à ce point digne de foi qu’il serait possible d’y prendre appui sans jamais chanceler? Force est de constater qu’une telle confiance ne peut profiter à personne. Au contraire, l’homme qui s’assure en l’homme ne manquera pas de tomber et d’être confus. Après tout, comment un aveugle conduirait-il un autre aveugle?
Une question demeure toujours: où se trouve le fondement solide et inébranlable sur lequel se reposer? Naturellement, une seule réponse s’impose: la Parole de Dieu! Elle est une lampe à notre pied, une lumière sur notre sentier. Oui, dans la nuit, elle nous éclaire et rend notre pas assuré. Indiscutablement, la Parole de Dieu saura combler quiconque est en quête de sécurité et de vérité. Christ, le bon Berger, nous y est présenté. Qui Le suit n’aura plus jamais à marcher dans le noir, c’est une certitude. Qui bâtit sa maison en prenant appui sur Lui n’en souffrira jamais la perte, elle résistera malgré vents et marées. Les orages pourraient bien gronder et les océans se déchaîner, nous demeurerons pourtant debout.
Réalisons-le, le Roc solide, insubmersible, que nous cherchions avec tant d’ardeur est là devant nous. À présent, il n’est plus question de fonder notre espérance sur une rêverie ou autre fable. Non, désormais notre assise est ferme. Et pour cause, le Rocher des siècles est Celui qui nous tient lieu de fondation!