Psaumes 33.20-22

Qui connaît la véritable paix, sinon celui qui s’assure en l’Éternel? Personne, sans l’ombre d’un doute. L’homme qui se confie en l’Éternel est comparable à un arbre verdoyant planté près des sources d’eau et qui ne craint pas la sécheresse quand elle frappe la terre. N’est-ce pas une grande consolation? Peut-être, vu de l’extérieur, nos corps paraîtront-ils abîmés lorsque la saison aride surviendra. Peut-être, vu de l’extérieur, semblera-t-il qu’il ne reste plus en surface qu’une terre desséchée, sans eau et sans vie, lorsque la saison aride surviendra. Toutefois, bien que l’homme extérieur se détruise, l’intérieur se renouvelle de jour en jour. Nous serons désaltérés par l’eau dont le Seigneur a dit: « celui qui boira de l’eau que je lui donnerai, n’aura plus jamais soif, mais l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira pour la vie éternelle. » Notre feuillage ne flétrira pas puisque notre confiance est en l’Éternel, en Sa bonté et Sa fidélité!

Non, nous n’avons que faire de l’assurance que peut donner le monde. Elle est superficielle. Elle se balaie, comme d’un revers, à la moindre affliction. L’assurance qui est nôtre est profonde! Elle ne s’encombre pas d’apparences, elle est cachée dans le cœur! Elle nous garantit du découragement, de la sécheresse spirituelle et nous permet d’espérer contre toute espérance! Si nous sommes comblés par la paix de Jésus-Christ, qui nous en privera? Qui nous empêchera de nous associer à ces hommes et ces femmes, dont les cœurs sont si profondément enracinés en Dieu, qu’il leur est possible de rendre ce témoignage: « Ta bonté vaux mieux que la vie » ? Que le Seigneur, dans Sa bonté, permette que nous soyons comptés parmi ces bienheureux!