Psaumes 95.7
Psaumes 95.7
Car il est notre Dieu, nous sommes le peuple qu’il fait paître et les brebis qu’il conduit.
Psaumes 95.7
Non, c’est sûr, le peuple de Dieu n’a pas besoin de vivre dans la crainte du lendemain. Inutile qu’il travaille son cœur par mille et une questions, la voie est toute tracée. L’avenir des fidèles ne fait pas de doute, il est absolument radieux. À présent, le fidèle Berger les conduit sur l’autre rive. Il les emmène au pays d’abondance et de paix, loin, si loin, des menaces et des dangers de la terre. Les habitants de la céleste patrie ne connaissent plus de peine ni de deuil. Ces choses ont pris, définitivement. Là-bas, c’est sûr, tout n’y est que joie et délice perpétuel. Aussi, cette perspective suffit allègrement à réchauffer le cœur de tout le troupeau.
Évidemment, pour l’heure, il faut marcher, persévérer sans cesse. Où qu’Il aille, il est impératif de suivre le Christ, que ce soit par monts ou vallées. Le fait est que ce sentier est le seul, et unique, qui mène à la vie. Naturellement, sur le chemin, il subsiste des incertitudes qui ont trait aux choses temporelles, aux affaires de ce siècle. Néanmoins, certainement pas de quoi se mettre en peine. Et pour cause, le Seigneur veille au grain sur Ses rachetés. Ceux-là recherchent le royaume de Dieu et sa justice. Ils savent pertinemment que tout le reste leur sera donné par dessus.
En somme, la seule préoccupation des brebis se résume à être attentives à la voix du souverain Pasteur. Il aime chacune d’entre elles, et s’assure que rien ne leur manque. Il s’intéresse sincèrement à elles et en prend soin, comme de la prunelle de Ses yeux. C’est vrai, les brebis sont vulnérables, sans défense et, sans conteste, les loups ravisseurs n’en feraient qu’une bouchée. Leur sécurité n’est pourtant jamais remise en cause. Voici, nul ne les peut ravir de la main du Puissant.
Maintenant, si quelqu’un parmi nos lecteurs aspire à ce bonheur, il est encore temps d’y avoir part! Le Seigneur Jésus l’a assuré: quiconque est de la vérité écoute Sa voix. Si elle résonne dans notre cœur, surtout ne l’endurcissons pas, ne résistons pas! Recevons Ses paroles d’amour, laissons-Le nous entraîner dans Son giron. Alors, avec bonheur, accompagnés de tous les bien-aimés, nous pourrons affirmer: « L’Éternel est mon berger: je ne manquerai de rien. »