Actes 17.24-25
Actes 17.24-25
Le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui y sont, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans les temples bâtis de mains d’hommes. Il n’est point servi par les mains des hommes, comme s’il avait besoin de quelque chose, lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses.
Actes 17.24-25
Qu’apporterons-nous à Dieu? Ne le savons-nous pas, Il possède déjà tout. En réalité, nous sommes chez Lui. Tout ce dont nous pensons disposer n’est en fait qu’un prêt de la part de notre Hôte. Oui, nous avons la charge de l’administration de Ses biens mais, dans l’absolu, ils ne nous appartiennent pas. La terre, et tout ce qu’elle contient, est à Dieu. Par conséquent, qui se présentera au Seigneur avec de l’or et de l’argent? Qui peut espérer être justifié sur cette base? De même, qui peut prétendre obtenir la faveur de Dieu au bénéfice d’un quelconque mouvement de la chair?
Oui, c’est une certitude, quiconque se place sur le terrain des œuvres et des mérites fait fausse route et finira immanquablement par s’égarer. Nous devons l’admettre une bonne fois pour toutes, cette voie est sans issue. Elle ne mène nulle part, sinon à la perdition. Notre Dieu est Celui qui donne. Quant à l’homme, il ne peut que recevoir. N’est-ce pas une grande leçon que nous devons assimiler? Les Écritures sont tout à fait limpides à ce sujet. « Qu’as-tu que tu n’aies reçu? » C’est ainsi qu’elles nous interrogent. Ceci est vrai de tout, absolument tout. Ceci est vrai de notre pain quotidien, de notre famille, de nos enfants, de notre travail, de tout ce en quoi nos yeux prennent plaisir. Evidemment, ceci est également vrai pour le salut de nos âmes. Il est offert gratuitement à ceux qui croient dans le Nom du Christ Jésus.
Toutes choses nous viennent de la main de Dieu. Grâce, tout n’est que grâce. Quelle place reste-t-il pour l’orgueil? Quelle place reste-t-il pour l’homme et sa vaine gloire? Aucune, incontestablement. Aussi, est-il étonnant que nous soyons invités à rendre grâces pour toutes choses à Dieu le Père, au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ? Non, bien sûr. Seule la reconnaissance peut répondre aux si grandes largesses dont nous sommes favorisés. Voici, tout grâce excellente et tout don parfait viennent d’en haut.