Colossiens 3.8-10
Colossiens 3.8-10
Mais maintenant vous aussi renoncez à toutes: à la colère, à l’animosité, à la méchanceté, à la médisance, aux paroles déshonnêtes; qu’il n’en sorte pas de votre bouche. Ne mentez point les uns aux autres; ayant dépouillé le vieil homme avec ses œuvres, Et ayant revêtu le nouvel homme, qui est renouvelé, dans la connaissance, à l’image de celui qui l’a créé.
Colossiens 3.8-10
La chair et l’Esprit ont des désirs contraires. Il existe une dualité en l’homme qui se confie dans le Nom de Jésus-Christ, c’est une évidence. Son âme fait l’objet d’un combat sans merci! Nous l’avons probablement tous constaté par expérience. D’un côté se trouve le nouvel homme, renouvelé dans la connaissance, à l’image de Celui qui l’a créé. Il recherche la pureté et la sainteté. Son désir est de vivre dans la communion qui est avec le Père et le Fils. De l’autre se trouve le vieil homme qui refuse de mourir. Il est vendu au péché et ne cesse de convoiter. Son plaisir se trouve dans les choses du monde et dans la sensualité.
Certes, la bataille est parfois rude. Néanmoins, ne baissons jamais les bras, ne cédons pas au désespoir. Ayons toujours à l’esprit que le Sauveur nous a affranchis au bois du Calvaire. Certainement, nous sommes destinés à remporter cette guerre! Ne consentons jamais à ce que le doute plane à ce sujet. La Bible enseigne que Dieu nous fait toujours triompher en Christ. Nous n’avons qu’à Lui faire confiance et à croire ce témoignage. D’ailleurs, ne nous y trompons pas, ce qui nous fait remporter la victoire sur le monde, c’est notre foi. Dans cette lutte, ce ne sont pas sur nos forces que nous devons compter mais sur celles du Seigneur. À ce propos, qu’a-t-Il dit: « Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans l’infirmité. »
C’est pourquoi, lorsque nous sommes chahutés et qu’il nous semble ne plus rien y voir, prenons du recul. Considérons calmement la situation et souvenons-nous seulement que nous ne sommes pas seuls. Jésus est là, Il ne nous abandonne jamais! Ne soyons pas impressionnés par les relents amers de la chair, elle meurt et livre ses dernières forces. C’est une certitude, si nous avons été faits une même plante avec le Seigneur, la mort du vieil homme est définitivement actée! Si nous sommes morts avec Christ, croyons que nous vivrons aussi avec Lui!