Deutéronome 29.29
Deutéronome 29.29
Les choses cachées appartiennent à l’Éternel notre Dieu, mais les choses révélées sont pour nous et pour nos enfants à jamais, afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi.
Deutéronome 29.29
Nous l’avons probablement tous constaté, le monde recèle de mystères et de questions difficiles auxquelles nul ne peut donner d’explications! Qui augmente sa science augmente sa douleur. Si toutefois quelqu’un s’aventure à trouver des réponses, telle personne doit être consciente qu’elle s’engage sur un terrain hasardeux. Oui, cette vilaine curiosité qui l’anime risque fort de l’entraîner au devant de toutes sortes de dangers. Sans doute, l’épuisement et le découragement sont-ils au bout de ce chemin et, qui plus est, pour un gain dérisoire! Ce que Dieu a jugé bon de cacher, l’homme pourrait-il bien le découvrir? Non, évidemment. Croire le contraire serait totalement insensé.
Mais alors, face aux grandes interrogations qui ne cessent de miner le cœur humain, que faire? Eh bien, à ceci une seule réponse s’impose: la foi, la foi en Dieu. Écoutons ceci, le Seigneur Jésus nous presse de recevoir le royaume de Dieu comme un petit enfant sous peine de ne pas y entrer! Quel solennel avertissement, n’est-ce pas? Or, quelle est l’attitude d’un enfant lorsqu’il entend les paroles de son père? Il les reçoit, les croit et y place toute sa confiance sans en faire difficulté.
À présent, il nous est demandé de faire de même vis-à-vis de notre Père céleste et de Sa Parole. Alors, quelle paix pour nos cœurs! Quel repos pour nos âmes! Dorénavant, il ne se trouvera plus ni doute ni crainte, mais tout deviendra limpide. Le Seigneur sait et, assurément, c’est tout ce qui compte. Aussi, contentons-nous seulement de ce que Dieu a estimé bon de révéler dans Sa Parole. Laissons aux orgueilleux le soin d’étudier les questions obscures, ne nous en embarrassons pas. Surtout, n’en soyons pas frustrés, comprenons que l’intelligence de ces choses est hors de notre portée. Après tout, toute la connaissance que l’homme peut accumuler ne sert de rien si le témoignage de l’Amour de Dieu n’est pas reçu.
Incontestablement, la connaissance de Christ est la seule qui revête une réelle valeur. Elle suffit absolument au bonheur de quiconque la possède. En réalité, tout le reste devient ensuite comme de la boue. Dorénavant, recevons les paroles du Seigneur et nous éprouverons que ceci est vrai!