Ecclésiaste 3.12-13
Ecclésiaste 3.12-13
J’ai reconnu qu’il n’y a rien de bon pour les hommes, que de se réjouir et de bien faire pendant leur vie. Et même, que chacun mange et boive, et jouisse du bien-être au milieu de tout son travail, c’est un don de Dieu.
Ecclésiaste 3.12-13
Trop occupés à courir après toutes sortes de vanités, combien sont ceux qui oublient qu’un jour ils devront rendre l’âme à Dieu? Dès alors, que feront-ils des richesses accumulés? Que feront-ils de leur renommée parmi les hommes? Ces choses ne seront plus d’aucun profit. À bien y réfléchir, que gagnons-nous à convoiter toujours plus d’argent et de biens, sinon à rassasier nos âmes de maux et d’inquiétudes? N’est-ce pas une perte de temps inutile? Dans sa prière, Moïse a déclaré: « Enseigne-nous à compter nos jours, tellement que nous puissions avoir un cœur sage. » Certainement, cette requête peut aussi être la nôtre.
Nous le savons bien, nos jours s’envolent et ils ne reviendront plus. Ne les gaspillons donc pas. Ne nous laissons pas gagner par la frénésie de ce monde. Autrement, nous ne serons jamais satisfaits, nous ne connaîtrons jamais le contentement. Sans doute, personne n’ignore qu’il ne se trouve qu’en notre Seigneur Jésus-Christ. C’est pourquoi, veillons à ne le rechercher qu’en Lui et à demeurer dans Son Amour. Alors, certainement, nous saurons reconnaître de quoi est fait le vrai bonheur.
Profiter de nos parents, de nos enfants, de toutes personnes chères à nos cœurs, n’est-ce pas notre trésor sur cette terre? Certes, nous pouvons bénir le Seigneur jour après jour pour cette si grande faveur. Pourquoi gâcher ces moments si précieux par d’incessantes disputes et autres querelles? Pourquoi laisser la rancune et l’amertume nous séparer de ceux que nous aimons. Un jour, il sera trop tard, la réconciliation ne sera plus possible, et seuls les regrets resteront. Ne nous laissons pas surprendre! En comptant sur le secours du Seigneur, veillons à être en paix avec tout le monde (autant que cela dépend de nous).
Tant que nous sommes ici, faisons une chose, vivons humblement et aspirons à un bonheur simple. Souvenons-nous, nous n’avons pas vocation à nous embourgeoiser sur cette terre; notre patrie est céleste! Parce que nous en sommes conscients, attendons patiemment la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ!