Esaïe 12.2
Esaïe 12.2
Voici, Dieu est mon salut; j’aurai confiance, et je ne craindrai point. Car l’Éternel, l’Éternel est ma force et ma louange, et il a été mon Sauveur!
Esaïe 12.2
Incontestablement, Dieu n’a pas égard à l’apparence des personnes. Oui, c’est sûr, le plus misérable des hommes peut marcher en vainqueur sur cette terre. Maintenant, le plus méprisé d’entre eux peut vaincre le monde en raison de sa foi au Seigneur Jésus. Quelle formidable nouvelle! Nul besoin d’être riche, beau, ou intelligent. Non, absolument rien de cela n’est requis. En réalité, aucun de ces critères ne revêt une quelconque importance.
La foi en Jésus, tel est le seul facteur discriminant. Dieu ne rejette aucun homme pour peu qu’il la possède. La promesse du salut est universelle, personne n’est écarté. Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Le don de Christ est la preuve irréfutable de l’amour de Dieu.
« Quiconque » n’excepte aucun individu, il englobe tout le monde. Aussi, derrière ce simple mot, « quiconque », se cache une joie extraordinaire pour tous ceux qui reçoivent le témoignage du Fils de Dieu. Tout à coup, le champ des possibles devient infini. En un instant, la vie éphémère qui devait s’achever demain embrasse désormais l’éternité. Bien entendu, difficile de le réaliser mais quel bonheur néanmoins de pouvoir s’y projeter! Aujourd’hui, comme le psalmiste, tous peuvent s’exprimer ainsi: « Voici, Dieu est mon salut; j’aurai confiance, et je ne craindrai point. Car l’Éternel, l’Éternel est ma force et ma louange, et il a été mon Sauveur! »
Naturellement, l’homme doit l’admettre: il ne doit son salut qu’à la grâce de Dieu. Le pécheur le reçoit par la foi, gratuitement et indépendamment de ses œuvres. Celui-là est humilié, son orgueil est abaissé et ses prétentions méritoires sont à jamais réduites à néant. Pour lui, tout sujet de se glorifier est définitivement exclu. Assurément, si quelqu’un fait l’expérience du salut en Christ, ce ne sera certes pas un problème. Au contraire, conscient de son indignité et de la faveur obtenue, le racheté n’aura pas de mot assez élogieux pour rendre gloire à Dieu, pour bénir le Nom de son Sauveur qui l’a tant aimé.
À présent, plus de temps à perdre, qui que nous soyons, quoi que nous ayons fait, le moment est venu de saisir Sa main gracieuse. Ne l’oublions pas, Jésus-Christ est venu chercher et sauver ce qui était perdu.