Esaïe 49.15-16
Esaïe 49.15-16
La femme peut-elle oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir pas pitié du fils de son sein? Mais quand elles les oublieraient, moi je ne t’oublierai pas. Voici, je t’ai gravée sur les paumes de mes mains; tes murs sont continuellement devant mes yeux.
Esaïe 49.15-16
N’est-il pas rassurant de savoir qu’il est Quelqu’un qui ne nous abandonne jamais? Quelles que soient nos erreurs, quelles que soient nos errements, quelles que soient nos vies, Sa fidélité ne faillit pas. Alors que tous s’en vont, nos bien-aimés, notre famille, nos plus intimes amis, le Seigneur quant à Lui ne renonce jamais à nous. Non, Son amour ne varie pas. Il est solide et constant. C’est un fait indiscutable, nul ne peut, ni ne pourra, nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.
Est-ce à dire que nous sommes sans reproche, que toutes nos voies Lui sont agréables et que nous ne bronchons en aucune occasion? Non, bien évidemment. Pour autant, nous ne sommes pas rejetés ni livrés à nous-mêmes. Considérons ce que nous enseigne le Livre: « Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. » Se peut-il exister une relation plus stable et sécurisante que celle qui est filiale? Réfléchissons, si un enfant commet une erreur ou fait une bêtise, son père le reniera-t-il pour autant? Non, bien sûr. Qui donc pourrait croire que le Père céleste, le Père parfait, puisse agir de la sorte? Voici, Il nous a engendrés selon Sa volonté, par la parole de la vérité, afin que nous fussions comme les prémices de Ses créatures. C’est pourquoi, nous n’avons pas à craindre l’abandon. Nous sommes à Lui! Quelles que soient les circonstances, les saisons de la vie ou encore les difficultés traversées, nous serons toujours à Lui.
Quelqu’un doute-il encore de cela? Pour finir de nous en convaincre, prêtons l’oreille encore un instant: « La femme peut-elle oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir pas pitié du fils de son sein? » Que répond le Seigneur? « Mais quand elles les oublieraient, moi je ne t’oublierai pas. » Qu’il nous souvienne seulement de cette parole! Oui, sans cesse, que cette pensée pleine de consolation repasse dans notre cœur: « Moi je ne t’oublierai pas. »