Je connaissais Jésus, et il était très précieux à mon âme ; mais je trouvais en moi quelque chose qui ne voulait pas demeurer dans la douceur, la patience et la bonté. Je fis ce que je pus pour le chasser, mais inutilement. Alors je suppliai Jésus de me délivrer, et quand je lei abandonnai ma volonté, il vint habiter dans mon cœur et il en ôta tout ce qui n’était pas doux, bon, patient, puis il ferma la porte.