Luc 10.10-13
Luc 10.10-13
Comme Jésus enseignait dans une synagogue un jour de sabbat, Il se trouva là une femme possédée d’un esprit qui la rendait malade depuis dix-huit ans, et qui était courbée, en sorte qu’elle ne pouvait point du tout se redresser. Jésus, la voyant, l’appela et lui dit: Femme, tu es délivrée de ta maladie.
Luc 10.10-13
Bien qu’il soit vrai que le juste ait des maux en grand nombre, les Écritures affirment pourtant que l’Éternel le délivre de tous! C’est pourquoi, alors que nous courrons, ne soyons pas étonnés si telle douleur physique, morale ou encore spirituelle vient à nous éprouver. Surtout, n’en prenons pas occasion pour douter du regard favorable que Dieu porte sur nous. Véritablement, nous sommes tous Ses enfants par la foi en Jésus-Christ. Oui, malgré tout, continuons à avancer.
Pour sûr, l’adversaire et ses suppôts ne manqueront pas de nous tenter à ce propos par leurs calomnies éhontées. Sans doute, nous voir déclarer forfait et nous retirer du Seigneur les rempliraient de satisfaction. Néanmoins, réalisons-le, ce serait bien la plus tragique des décisions à prendre. Alors, il ne resterait au lion rugissant plus qu’à dévorer sa proie. Puisque nous n’ignorons pas ses machinations, ne donnons aucun accès au diable! Ne tombons pas dans son piège, ne lui prêtons nullement l’oreille! Plutôt, fortifions-nous dans la grâce qui est en Jésus-Christ!
Dieu nous aurait-il abandonné? Non, bien évidemment, notre Dieu est fidèle! Si nous y réfléchissons, pourrait-il bien exister un mensonge qui soit plus grossier? Assurément, notre Dieu nous aime! Même, Il nous en a donné la preuve la plus évidente. Voici, Il fait éclater Son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. Dieu aurait-Il changé d’avis? Se serait-Il ravisé? Jamais! Indiscutablement, nous ferions bien de rejeter toutes ces suggestions perfides sans aucun ménagement.
Dans la détresse, attendons-nous simplement au Seigneur, dans le calme et la confiance. Il agira certainement! Certes, peut-être pas, de la manière dont nous l’aurions souhaitée. Mais toutefois, ceci est toujours vrai, toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, qui sont appelés selon Son dessein. Sans nul doute, c’est ici notre grande consolation.