Matthieu 27.45-46
Matthieu 27.45-46
Or, depuis la sixième heure, il y eut des ténèbres sur tout le pays, jusqu’à la neuvième heure. Et vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte, en disant: Éli, Éli, lama sabachthani? c’est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?
Matthieu 27.45-46
Indéniablement, le monde est en souffrance. Aussi, cherche-t-il désespérément à panser sa plaie. Seulement voilà, le constat est implacable, l’homme ne trouve aucun remède au mal qui le ronge. Le péché est si vigoureusement attaché à lui que rien, pas même le nitre ni la potasse, ne peut l’en nettoyer. Pourtant, s’il arrêtait un instant sa course folle, il réaliserait que la solution est là, juste devant ses yeux. En réalité, tout est accompli. Voici, Dieu nous a suscité un grand Sauveur en la Personne de Son Fils Jésus-Christ. Dieu L’a livré pour nous tous.
Calmement, loin de la frénésie de ce monde, prenons le temps de considérer l’homme de douleurs. Considérons Ses souffrances et Son cri déchirant: « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné? » La Bible affirme que le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur Lui. Véritablement, ce sont pour nos péchés qu’Il a été meurtri, et ce sont pour nos transgressions qu’Il a été frappé. Se pourrait-il que le Christ ait tant souffert en vain? Non, certainement pas! Son précieux sang purifie de tout péché. Quelle nouvelle extraordinaire, n’est-ce pas?
Néanmoins, le monde continue inlassablement de courir au mépris de l’incomparable grâce que Dieu lui propose. Mais c’est en vain qu’il s’épuise, il n’y a de salut en aucun autre nom que dans Celui de Jésus-Christ. C’est pourquoi, ne nous joignons pas au rang des incrédules. Ne prenons pas exemple sur le monde, il emprunte le chemin de la perdition. Au contraire, le cœur humble et rempli de reconnaissance, approchons du Sauveur sans délai et faisons-Lui confiance. Alors, nous serons revêtus de la justice d’un autre. Dès alors, quel bonheur, plus de servitude ni aucune condamnation à redouter!