Psaumes 145.15-16
Psaumes 145.15-16
Les yeux de tous s’attendent à toi, et tu leur donnes leur nourriture en son temps. Tu ouvres ta main, et tu rassasies à souhait tout ce qui vit.
Psaumes 145.15-16
C’est une certitude, l’homme peut compter sur le Dieu fidèle. Il s’agit simplement de L’écouter et de Lui faire confiance. Après tout, c’est par la volonté de Dieu que toutes choses existent. Réfléchissons, Dieu aurait tout créé et, à présent, Il serait incapable de pourvoir aux besoins de Sa créature? Evidemment, cela n’a aucun sens!
Apprenons-le, Dieu est le conservateur de tous les hommes, mais principalement des fidèles. Prenant appui sur cette parole, nous concluons que tous ont part à ce qui pourrait être nommé « la grâce commune ». Oui, Dieu est bon, Il donne avec générosité et réjouit l’âme de tout un chacun. Ainsi, nombreux sont ceux qui profitent des dons sans connaître le Donateur, sans reconnaître que tout vient d’en haut, du Père des lumières.
Seulement voilà, il y a plus, bien plus! Il y a une catégorie de personnes, appelée ici « les fidèles », pour lesquelles cette gratuité va bien plus loin. Ceux-là appellent Dieu leur Père. Quel précieux privilège! Quant à eux, on leur a dit de ne pas se soucier du lendemain, de n’avoir aucune inquiétude. Ils savent que le Père est prévenant et qu’Il sait tout. Ils savent que le Père a soin de Ses enfants. Ces derniers ont une épaule sur laquelle se reposer, un endroit où déposer tous leurs fardeaux.
Mais d’où vient qu’ils soient enrichis d’une grâce si excellente? Où se situe la différence? Il y en a une, et elle est significative! Les fidèles croient dans le Nom de Jésus-Christ et, tout à coup, les voici devenus agréables à Dieu. Ils sont maintenant Ses bien-aimés. Christ a définitivement aboli ce qui faisait obstacle à une relation, à une communion, entre Dieu et les hommes: le péché. Malheureusement, beaucoup ne reçoivent pas ce précieux témoignage. Ils n’entendent pas la parole de réconciliation, ils la rejettent même, et l’Évangile ne leur profitent jamais. Ils bénéficient bien des largesses du Souverain mais restent néanmoins dans le noir, sans aucune lumière.
Quant à nous, joignons-nous sans plus attendre au rang des fidèles! Désormais, nous qui avons faim et soif, attendons-nous au Seigneur. Oui, véritablement, Il ouvre Sa main, et Il rassasie à souhait tout ce qui vit!