Psaumes 72.17
Psaumes 72.17
Son nom subsistera toujours; son nom se propagera tant que luira le soleil; on invoquera son nom pour bénir; toutes les nations le diront heureux.
Psaumes 72.17
N’en déplaise aux rebelles, le règne du Seigneur Jésus n’aura pas de fin! Oui, Sa domination est d’âge en âge! Que les hommes s’évertuent à Le mépriser, à se moquer de Lui, et même à nier jusqu’à Son existence n’y changera absolument rien. Certes, le Seigneur se moquera et se rira de Ses adversaires. Evidemment, le dernier mot Lui reviendra. À tout jamais, Il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs!
Naturellement, Ses fidèles connaissent aujourd’hui le rejet. Sans arrêt, l’espérance de ce peuple est tournée en dérision. Toutefois, ceux-là en sont persuadés, leur humiliation n’est que temporaire. Un jour, la fidélité des sujets du grand Roi sera récompensée. Un jour, quand Christ paraîtra, alors eux paraîtront aussi avec Lui dans la gloire. Aussi, malgré l’hostilité actuelle dont ils sont victimes, ils se réjouissent néanmoins dans le Seigneur. Patiemment, les serviteurs du Souverain attendent l’heure du triomphe. Déjà, la perspective du jour d’éternité, du séjour bienheureux, en la présence de Dieu les ravit de bonheur.
Si c’est un honneur d’être distingué par les personnalités éminentes de ce siècle, cela l’est incontestablement bien davantage de l’être par le Roi des cieux. Aujourd’hui, ces hommes et ces femmes jouissent de la faveur royale. Maintenant, les saints sont mis à part pour le service de Dieu. C’est sûr, pour rien au monde ils ne renonceraient à cette dignité. Après tout, le Nom de Celui qu’ils servent est glorieux, Il subsistera toujours. Etre accueilli dans le Royaume de cet illustre Monarque, voici la pensée qui enflamme leur cœur! Aussi, tout bien compté, ils estiment que les souffrances du temps présent ne sont point comparables à la gloire à venir qui doit être révélée en eux. Les bien-aimés ne vivent en réalité que pour une seule chose; ils soupirent après ce moment béni où enfin ils entendront la voix de leur Prince les interpeller par ces ineffables paroles: « C’est bien, bon et fidèle serviteur; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup; entre dans la joie de ton Maître. »
Et nous, de qui sommes-nous les sujets?