Romains 9.25-26
Romains 9.25-26
Selon qu’il le dit en Osée: J’appellerai mon peuple, celui qui n’était pas mon peuple, et la bien-aimée, celle qui n’était pas la bien-aimée; Et il arrivera que dans le lieu même où il leur avait été dit: Vous n’êtes point mon peuple, ils seront appelés les enfants du Dieu vivant.
Romains 9.25-26
L’homme pourrait-il exiger quelque chose de Son Créateur? Non, évidemment. Aujourd’hui, il est vrai, nous affirmons que Dieu nous aime, qu’Il nous a sauvés et, plus encore, que nous sommes Ses enfants par adoption. Seulement que nul ne se méprenne, cela ne vient pas de nous, nous ne parlons pas de notre propre chef. Autrement, tout ceci ne serait que rêverie, présomption et mensonge. Rendons-nous compte, nous aurions l’audace folle de nous prévaloir de bénédictions et d’une affiliation auxquelles Dieu n’a jamais consenti.
Or, maintenant, notre appui est ferme, notre assurance bien fondée! Pourquoi? Tout simplement parce que la Parole de Dieu le dit. Autrefois, nous n’étions pas Son peuple, nous étions séparés de la république d’Israël et étrangers par rapport aux alliances de la promesse. En un mot, nous étions seuls, sans Dieu dans le monde. Nous gisions dans la boue de nos péchés sans espoir de salut. L’histoire aurait pu s’arrêter là. Néanmoins, il y a une bonne nouvelle, aujourd’hui toutes choses sont devenues nouvelles. Christ est venu et tout est devenu différent, si différent.
Voici la grande nouvelle: il plut à Dieu de sauver l’humanité. Nous étions sans force et désormais, nous pouvons tout par Celui qui nous fortifie. Par nature, nous étions ennemis de Dieu, et dorénavant nous avons été réconciliés. Nous n’avions rien à espérer, et désormais nous possédons une espérance vivante. Nous étions perdus, et désormais nous voila sauvés. Nous n’étions pas le peuple de Dieu, et désormais nous sommes comptés parmi Ses bien-aimés. Indiscutablement, le changement est radical! Le tout, uniquement par grâce.
Non, nous ne forçons pas la main de Dieu. Non, nous ne forçons pas l’entrée de Sa maison. D’ailleurs, le Christ Lui-même invite les hommes à se convertir et à croire à l’Évangile. S’Il le dit, qui nous convaincra du contraire? Personne ne peut nous empêcher d’emprunter ce sentier. Ne tardons plus, écoutons l’Appel de grâce. Ne tardons plus, entrons! Ni notre race, ni notre couleur de peau, ni notre origine ethnique n’a aucune espèce d’importance. Maintenant, Dieu s’adresse à quiconque écoute à Sa voix. Prenons-y garde et obéissons!